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lundi 19 juin 2017

A Bruxelles et à Louvain, des rendez-vous musicaux pour tout l'été

Rendez-vous musical incontournable de l’été, le Festival des Midis-Minimes et son alter ego De Zomer van Sint-Pieter proposent, du 3 juillet au 31 août, quelque 40 concerts à Bruxelles et une trentaine à Louvain.

Organisés en cycles hebdomadaires, traversés par trois semaines thématiques, ils réuniront plus de 200 musiciens, parmi lesquels figurent Lorenzo Gatto, Jodie Devos, Reinoud Van Mechelen, le Quatuor Danel ou encore Les Agrémens.

La formule des Midis-Minimes est simple : proposer durant les deux mois de l’été, en semaine et à l’heure de midi, des concerts courts à un prix très démocratique. Le festival veut faire découvrir la musique dans toute sa richesse et diversité à un public le plus large possible. Des chants des troubadours au jazz et aux musiques du monde, en passant par les chefs-d’œuvre consacrés, la programmation se présente comme une exploration des esthétiques, époques, cultures et univers sonores différents.

Le 3 juillet, Lorenzo Gatto inaugurera cette édition au Conservatoire de Bruxelles avec deux œuvres majeures du maître du tango Astor Piazzolla, accompagné par Young Belgian Strings, un orchestre à cordes constitué de jeunes musiciens belges, parrainé par le violoniste belge.

Comme chaque année, les semaines seront rythmées par des cycles hebdomadaires. Lors des rencontres du lundi, le festival invitera entre autres des musiques et danses togolaises et du flamenco. Le mardi, les curieux de musique ancienne apprécieront les consorts de violes de William Lawes (Hathor Consort) et la Missa Cum Jocunditate de Pierre de la Rue (Cappella Praetensis). Le cycle XVIIIe siècle du mercredi proposera notamment un programme pour harmonica de verre, ainsi que Les Muffatti, qui fêteront Telemann, mort il y a 350 ans. Le jeudi, les amateurs du XIXe siècle apprécieront les sonates pour violon et piano de Grieg par Maya Levy et Matthieu Idmtal (duo lauréat de Supernova 2017) ou encore le Trio Zadig dans le trio à clavier À l’Archiduc de Beethoven. Le cycle XXe et XXIe siècles (le vendredi) présentera Jodie Devos et Eliane Reyes (piano) dans des mélodies de Poulenc et de Strauss, Oxalys et la soprano Claire Lefilliâtre dans des œuvres rarement données en concert de Joseph Jongen ou encore Histoire du soldat de Stravinsky par l’Ensemble Sturm Und Klang.

L’édition 2017 fait la part belle aux musiciens en début de carrière, comme en témoigne la programmation des deux semaines thématiques habituelles. Celle dédiée au piano (24-28.07) permettra de découvrir Fanny Azzuro, Nathanaël Gouin, Jean-Paul Gasparian, Alexandre Kantorow et Fabian Coomans. Dans la semaine « quatuors à cordes » (7-11.08), le réputé Quatuor Danel fera office de « parrain » pour quatre ensembles prometteurs : les quatuors Hanson, Ardente, Akilone et l’Akhtamar String Quartet. Et l’édition bruxelloise du festival réitère sa semaine « Place aux jeunes » (21-25.08), offrant un podium aux meilleurs éléments des classes de musique ancienne, de chambre et de jazz du Koninklijk Conservatorium Brussel.

Pour le concert de clôture, le 31 août, Les Agrémens dirigés par Guy Van Waas exécuteront quelques-uns des airs les plus populaires extraits des cantates et passions de Bach, avec comme soliste le jeune et prometteur contre-ténor belge Guillaume Houcke.

Au Grand Hornu, un été artistique

LE GRAND-HORNU RELANCE SUMMER GRAND-HORNU

Une riche programmation durant tout l'été au Grand-Hornu


Après le succès remporté par sa première édition, le Grand-Hornu relance « SUMMER GRAND-HORNU ».

Ce programme estival propose, comme l'année dernière, une multitude d'activités aussi bien intérieures qu'extérieures imaginées autour des expositions. Cet été, le MAC's met deux artistes belges à l'honneur, le Bruxellois Philippe De Gobert et l'Anversois Wesley Meuris. Le CID, quant à lui, vous invite à plonger au coeur de la culture nippone avec une importante exposition du collectif de designers nendo.

À noter que désormais, les visites guidées des expositions du CID, du MAC's et du site historique du Grand-Hornu sont gratuites pour le public individuel.

Au programme : visites guidées d'expositions en famille, promenades botaniques, pique-niques, siestes dans nos transats, jeux d'extérieurs, apéritifs, stages... et une grande fête nationale. Autant d'activités pour vous faire passer une journée exquise au Grand- Hornu.

Expositions de l'été

NENDO : INVISIBLE OUTLINES
21.05.2017 > 01.10.2017

Après sa première exposition en 2003, le phénomène nendo s'est développé à une allure époustouflante. Sous la conduite d'Oki Sato,le collectif de designers japonais n'a cessé d'impressionner par la cohérence et la force de son vocabulaire, un dessin pétri d'épure japonaise avec un twist non dénué d'humour. Qu'il s'agisse de créer du mobilier, des objets, accessoires, articles de bouche ou aménagements architecturaux, nendo répond aux programmes les plus divers avec la même rigueur naturelle, chargée d'un énorme potentiel poétique. Aujourd'hui âgé de 39 ans, Oki Sato a accepté avec enthousiasme l'invitation du CID et s'emparera, durant quatre mois, de l'ensemble de ses espaces intérieurs : écuries, magasin aux foins, atrium, lampisterie... Son exposition sera une création exclusive, imaginée en étroite complicité avec les lieux.
Une première européenne de cette envergure.

PHILIPPE DE GOBERT
25.06.17 > 03.09.17


L'artiste belge Philippe De Gobert (1946) explore les frontières ténues qui séparent réalité et fiction. Ses photographies en noir et blanc présentent des espaces épurés aux lignes austères qui baignent dans une lumière diffuse et irréelle. Ces lieux évidés sont toutefois marqués par les traces laissées par l'humain avant qu'il ne s'absente. L'observation attentive de ces agrandissements photographiques sème cependant le doute : de ces architectures mystérieuses surgissent des incohérences d'échelles et de prises de vue. L'image, que l'on prenait pour une vue d'intérieur, se révèle être la photographie d'une maquette : des images construites, des lieux imaginés, ou encore des ateliers d'artistes fantasmés.

Pour la rétrospective proposée cet été au MAC's, photographie et maquette affranchies l'une de l'autre sont présentées dans des espaces distincts afin de souligner leurs qualités esthétiques intrinsèques, évitant ainsi l'écueil de les réduire à de simples documents. La publication d'une riche monographie accompagnera cette importante exposition du travail de Philippe De Gobert.

WESLEY MEURIS
25.06.17 > 03.09.17

Le travail de l'artiste anversois Wesley Meuris (1977) examine avec rigueur les dispositifs de présentation qui occupent les espaces d'exposition. C'est ainsi qu'il construit, de manière artisanale, du mobilier muséal et zoologique. Ces structures stéréotypées sont néanmoins vides, et
le resteront manifestement. L'objet servant d'ordinaire à montrer est désormais celui que l'on regarde, et se mue dès lors en objet sculptural. Un travail conceptuel sur les processus de monstration qui rappelle l'héritage de Marcel Broodthaers qui, en 1968 déjà, soulevait avec son Musée d'Art Moderne Département des Aigles des préoccupations semblables.

Pour l'exposition qui lui est consacrée au MAC's, Wesley Meuris présente, tels des vivariums vidés, trois « cages », ainsi qu'une installation monumentale qui interroge le spectateur sur son mode de perception de l'espace d'exposition.

jeudi 1 juin 2017

A Bruxelles, la poésie engendrée par la pluie récompensée

Le lauréat du Prix Bruocsella by Prométhéa 2017 est le projet « Raining Poetry in Brussels » porté par l’asbl L’Arbre de Diane.

Cette jeune asbl a le souhait de servir la poésie et la littérature dans toutes les langues et sous toutes ses formes. C’est aussi une maison d’édition qui publie des livres numériques et papier, tout en développant des applications culturelles et des projets de création radiophoniques liés à la littérature au sens large. Elle a pour but de toucher le grand public et particulièrement les jeunes.

Le jury a apprécié la mise en avant de la poésie, forme d’art inattendue dans la ville, à la vue de tous.
En se servant de la pluie comme révélateur, le projet, dans son originalité, permet d’utiliser une caractéristique de notre météo en un élément ludique, éducatif et empreint de surréalisme belge.

Avec Bruocsella, Prométhéa a mis en place depuis 2003 un collectif d’entreprises mécènes qui soutient l’amélioration de l’environnement urbain en région bruxelloise: le collectif Bruocsella. Des projets créatifs et « pour la ville » sont récompensés chaque année par le Prix Bruocsella de Prométhéa.

Un prix original qui contribue aux projets urbanistiques des habitants.

Les projets candidats au Prix Bruocsella de Prométhéa doivent contribuer à la création, à la rénovation ou à la sauvegarde du patrimoine non classé ou d’éléments touchant à l’aménagement urbain, porteurs d’un bénéfice pour la collectivité. En 2017, les membres du collectif ont examiné des projets touchant à l’aménagement d’espaces extérieurs, à l’art public, aux bâtiments et aux projets de développement durable.
L’appel à candidatures qui s’est clôturé le 28 février dernier a mis en évidence douze projets :
« Raining Poetry in Brussels » - Bruxelles / « Terres de Bruxelles » - Région Bruxelles-Capitale /
« Propreté publique » - Bruxelles / « Arbre à palabres » - Région Bruxelles-Capitale /
« Les Interstices» - Bruxelles / « Tram 51 » - Axe Nord-Sud de la Région Bruxelles-Capitale /
«  Strokar » - Bruxelles / «  Uptown Design Tour » - Bruxelles /
« La place est à vous ! Et si on allait plus loin ? » - Forest /
« Brussels Street Art » - Bruxelles, Tour CCB / « Marmit » - Région Bruxelles-Capitale /
« Werkplaats » - Anderlecht.

A Bruxelles, Midsummer Mozartiade

Le 2e festival Midsummer Mozartiade met Don Giovanni en vedette!

La deuxième édition de Midsummer Mozartiade, le festival qui célèbre les chefs-d’œuvre de Mozart, aura lieu du 2 au 9 juillet 2017 à Bruxelles. Cette année, il investit la Place des Martyrs et ses lieux de patrimoine culturels, proposant un Don Giovanni accessible à tous, des concerts où se côtoient jeunes prodiges et artistes chevronnés et une programmation gratuite avec conférences et concerts en plein air.

Le festival Midsummer Mozartiade s’est donné pour mission de célébrer les chefs-d’œuvre de Mozart, les lieux phares du patrimoine bruxellois du XVIIIe siècle et les jeunes artistes de talent. Après la réussite de sa première édition en 2016, autour de Le Nozze di Figaro et du Parc de Bruxelles, le festival propose cette année une programmation mettant en vedette cet autre opéra phare de Mozart, Don Giovanni, et un autre site patrimonial construit de son vivant, la Place des Martyrs.

Au Théâtre des Martyrs auront lieu quatre représentations de Don Giovanni, avec des artistes émergents de la scène lyrique, accompagnés par l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie, sous la direction de David Miller et dans une mise en scène d’Eric Gobin. Cette production conviera un public divers à découvrir ce chef-d’œuvre dans lequel nous pouvons tous reconnaître nos passions et notre propre image.

Le Théâtre des Martyrs accueillera en outre quatre concerts, qui se présentent comme autant de voyages dans l’univers mozartien : « Signé Amadeus M.», avec de la musique de chambre autour de Mozart, interprétée par les Solistes de la Chapelle Musicale Reine Elisabeth ; « Levers de rideau », avec des extraits d’opéras de Mozart et Gluck chantés par Juliette Allen, Gianna Cañete Gallo et Raphaële Nsunda Nluti, accompagnées par Sabrina Avantario au pianoforte ; « Amour & Érotisme », des Lieder et pièces pour pianoforte de Haydn, Mozart et Beethoven avec Anke Herrmann et Lucas Blondeel ; et « Rondo alla Turca », des variations arabes sur la « Marche Turque » de Mozart proposées par les musiciens irakiens de l’ensemble Les Mésopotamiens.

La Place des Martyrs vivra cinq concerts gratuits en plein air dans une ambiance festive et familiale. L’ensemble Venti Nuovi revient avec « Mozart in the Square », un programme de musique pour instruments à vent, tandis que l’Ensemble de Cuivres de Belgique investira la place avec « De Mozart à Piazzolla ».

Ce programme musical sera complété par des conférences gratuites à la librairie Quartiers Latins, données par l’historien Christophe Loir (ULB) et la musicologue Marie Cornaz, ainsi que par les journées découverte, animées par les artistes du festival lors des dernières répétitions de Don Giovanni, à l’intention des élèves de plusieurs écoles.

Cette deuxième édition sera ainsi décliné en un volet musical, patrimonial, éducatif et convivial. Enfin, dans un souci de rendre le festival accessible à tous, le programme Amadeus per tutti offrira des entrées à l’opéra et aux concerts aux personnes défavorisées, en collaboration avec les Maisons de quartier de la Ville de Bruxelles.

mercredi 31 mai 2017

A Liège, art et médecine

À l'occasion de ses trente ans d'exitence, le C.H.U de Liège s'invite du
21 juin au 17 septembre 2017 au musée de La Boverie pour une grande
exposition événement. Intitulée « La Leçon d'Anatomie. 500 ans
d'histoire de la médecine », l'exposition est articulée autour de quatre
grands axes et présente un ensemble unique de plus de 120 oeuvres où Art
ancien et Art contemporain, mêlés, montrent bien la variété de nos
attitudes devant les fragilités de notre condition. Cabinet de
curiosités, installations d'art actuel, oeuvres anciennes, art abstrait
et imageries médicales s'entrecroisent pour former un tout cohérent et
surprenant qui offre une réflexion sur la pratique médicale.

mercredi 3 mai 2017

A Liège, musique ancienne avec l'ensemble Gilles Binchois et Dominique Vellard


Ce dimanche 7 mai à la Salle Philharmonique, Dominique Vellard et l’Ensemble Gilles Binchois font vibrer les chants médiévaux a cappella du monastère de Las Huelgas.

Compilé peu après l’an 1300, le manuscrit du monastère cistercien de Las Huelgas près de Burgos (Espagne) rassemble 186 œuvres du XIIIe siècle et du début du XIVe siècle. On y trouve notamment 35 monodies et 141 compositions polyphoniques parmi lesquelles des motets et des organa – mélodies de plain-chant complétées de voix nouvelles – influencés par l’École de Notre-Dame de Paris.

Les plus belles pages de ce recueil sont données à la Salle Philharmonique de Liège, le dimanche 7 mai à 16 heures, par l’Ensemble Gilles Binchois sous la direction de Dominique Vellard, un ensemble qui fait mondialement référence dans le domaine de la musique médiévale depuis 1979. Il s’inspire des découvertes les plus récentes en matière de notation et d’interprétation pour offrir la version la plus authentique de ce manuscrit

mardi 18 avril 2017

A Bruxelles, 6e Biguitar festival

Du 21 au 25 avril 2017, le 6e BIGuitar FESTIVAL - Brussels International Guitar Festival & Competition accueillera au Théâtre du Vaudeville quelques-uns des plus grands guitaristes internationaux pour un programme riche et varié : des concerts de musique classique, latine, moderne, du tango argentin, un spectacle flamenco, des films, des master classes, des rencontres, un spectacle pour enfants, la finale du concours national de guitare et le Salon des Luthiers & Exposants.

Au fil des cinq éditions précédentes, le BIGuitar FESTIVAL est devenu l’événement incontournable pour tous les aficionados de la guitare. Fondé par le guitariste Hugues Navez, ce rendez-vous annuel permet au grand public, néophyte ou averti, de découvrir les très nombreuses facettes de l’instrument le plus joué au monde.

La cuvée 2017 s’annonce pleine de découvertes et créations.

Parmi les 12 concerts répartis sur 5 soirées figurent deux œuvres majeures de Joaquin Rodrigo : la première belge du Concierto para una Fiesta pour guitare et orchestre et le Concierto Andaluz pour quatre guitares et orchestre. Ils seront interprétés par Marco Tamayo, Anabel Montesinos, Tal Hurwitz et Daniel Egielman accompagnés par La Chapelle de Tournai sous la direction de Philippe Gérard.

Le récital de la grande guitariste paraguayenne Berta Rojas, la musique argentine du Trio Máximo Diego Pujol, le spectacle flamenco du Oleo Antonio Segura Group, le violon et la guitare du duo belge Medi Terra, les concerts de l’ Oxycord Guitar Quartet, du Nice Guitar Duet, ainsi que le concert Diversity par l’Ensemble de guitares du Conservatoire royal de Bruxelles sous la direction de Hugues Navez sont autant de rendez-vous à ne pas manquer.

Pour les enfants de 3 à 12 ans la compagnie française Dans les Bacs à Sable présentera son nouveau spectacle Les Trésors du Monde.

D’autres moments forts seront cinématographiques. En collaboration avec l’INA, le festival rendra hommage à la guitariste française Ida Presti, la plus grande virtuose du XXe siècle, à l’occasion des 50 ans de sa disparition en avril 1967, avec la projection en première mondiale de deux concerts d’archives du duo mythique qu’elle formait avec son époux Alexandre Lagoya, et la présentation d’interviews inédites par sa petite-fille Isabelle Presti. Toujours à l’affût de nouveautés, le BIGuitar FESTIVAL offrira la première et unique projection en Belgique du film paraguayen « Mangoré, por Amor al Arte » consacré au grand compositeur et guitariste de ce pays, Agustín Barrios.

Parmi les nombreuses activités gratuites, le festival propose six master classes (en collaboration avec le Conservatoire royal de Bruxelles), le Salon des Luthiers & Exposants, qui s’agrandit et se tiendra à la Maison Grand-Place, et enfin la finale du Brussels National Guitar Competition « Nicolas Alfonso ». Ce concours de très haut niveau, créé en 2012 en hommage au fondateur de la classe de guitare du Conservatoire royal de Bruxelles, est alternativement national et international. L’édition 2017 sera pour la première fois accessible à tous les guitaristes classiques amateurs de Belgique. Pendant la délibération du jury et avant la proclamation des résultats, la grande guitariste française Valérie Duchâteau donnera un récital consacré à Barbara, Bernstein, Dyens…


AGENDA

VENDREDI 21 AVRIL I CONCERT EN TROIS PARTIES
20h00 I Théâtre du Vaudeville
  • Daniel Egielman, guitare (Pologne)
  • Marco Tamayo, guitare (Cuba/Autriche) Chapelle de Tournai, sous la direction de Philippe Gérard (Belgique)
  • Quatuor de guitaresAnabel Montesinos (Espagne/Autriche), Marco Tamayo (Cuba/Autriche), Tal Hurwitz (Israël) & Daniel Egielman (Pologne)
 
SAMEDI 22 AVRIL I CONCOURS
Théâtre du Vaudeville
  • 09h30  |  Brussels National Guitar Competition « Nicolas Alfonso »
  • 11h30  | Valérie Duchâteau, guitare (France)
 
SAMEDI 22 AVRIL I CONCERT EN TROIS PARTIES
20h00 I Théâtre du Vaudeville
  • Oxycord Guitar QuartetCamille Plá (France/Belgique), Pedro Da Silva Soares (Portugal/Belgique), Julien Siguré (France/Belgique) & Thomas Vanin 
  • Duo de guitares : Ida Presti & Alexandre Lagoya (France)
 
DIMANCHE 23 AVRIL I CONCERT EN DEUX PARTIES
20h00 I Théâtre du Vaudeville
  • Nice Guitar Duet (France) Laurent Blanquart & Claude Di Benedetto
  • Máximo Diego Pujol Trio (Argentine) Máximo Diego Pujol (guitare), Eleonora Andrea Ferreyra (bandonéon) & Daniel José Luis Falasca (contrebasse) 
 
LUNDI 24 AVRIL I CONCERT EN DEUX PARTIES
20h00 I Théâtre du Vaudeville
  • Duo Medi Terra (Belgique) Gayané Grigoryan (violon) & Thomas Maillet (guitare)
  • Berta Rojas (Paraguay, guitare)
 
MARDI 25 AVRIL I CONCERT EN DEUX PARTIES
20h00 I Théâtre du Vaudeville
  • Ensemble de guitares du Conservatoire royal de Bruxelles sous la direction de Hugues Navez
  • Spectacle Flamenco "Oleo Antonio Segura Group" (Espagne/Belgique/Canada) Antonio Segura (guitare flamenco), Serge Dacosse (basse), François Taillefer (percussions), Kuky Santiago (danse) & Antonio Paz (voix)

jeudi 13 avril 2017

A Spa, un Printemps baroque

Du 20 au 23 avril 2017
1er « Printemps Baroque de Spa »


Sous l'impulsion de l'asbl « Ricercar Consort » et du violiste Philippe Pierlot, un nouveau festival musical voit le jour à Spa : « Le Printemps Baroque de Spa »

Du 20 au 23 avril prochain, le Printemps Baroque de Spa accueillera une pléiade d'artistes de renommée internationale tels l'ensemble vocal El Grillo, Céline Scheen, Yetzabel Arias, Jeffrey Thompson, Hans-Jörg Mammel... mais aussi les jeunes musiciens prometteurs du groupe « New Ground », « véritables coups de coeur de la nouvelle génération montante » souligne le directeur artistique du « Printemps Baroque de Spa », Philippe Pierlot.

« Cette première édition prendra place dans le cadre des festivités qui célèbrent le 450e anniversaire de la naissance de Claudio Monteverdi. Compositeur italien qui a séjourné à Spa en 1599 ! Son talent sera illustré au fil de quatre concerts et au travers de l'art polyphonique, de la monodie et de l'art instrumental naissant » précise Philippe Pierlot.

Depuis plus de trente ans, les amateurs de musique baroque rallient Spa pour goûter aux saveurs de l' « Automne Musical de Spa ». Ce nouveau festival vient compléter l'offre musicale toute dédiée à la musique ancienne qui fait la réputation de la Perle des Ardennes.

Depuis qu'il est installé à Spa, Philippe Pierlot, secondé par Brigitte Hilferink et Véronique Wintgens au travers de l'asbl « Ricercar Consort », multiplie les projets musicaux en la Cité des Eaux : Rencontres internationales de la Viole de gambe « Claudio Monteverdi » et les Rendez-vous de la Viole de la gambe.

Reconnu dans le monde entier, Philippe Pierlot est un ambassadeur de choix et de talent pour la musique baroque. Avec ces projets musicaux, il désire partager avec le public ses rencontres musicales et ses coups de coeur.

« A Liège, nous avons durant plusieurs années organisé, en période printanière, le Festival Bach en vallée mosane. Nous l'abandonnons au profit de ce nouveau festival : le Printemps baroque de Spa » ajoute Philippe Pierlot.

Cette première édition du « Printemps Baroque de Spa » mettra à l'honneur la musique italienne des 16e et 17e siècles avec, pour fil conducteur, Claudio Monteverdi. Les amateurs de musique pourront ainsi entendre des motets et madrigaux de Palestrina, des ballets et monodies de Monteverdi, des oeuvres instrumentales de Corelli et Geminiani, pionniers de l'école italienne de violon...
Quant aux concerts, ils se partageront entre l’église de Charneux (en collaboration avec la Chapelle Al Mizwète), l’église protestante et l’église Saint-Remacle de Spa.

Organisé par l'asbl « Ricercar Consort », le Printemps baroque de Spa est soutenu par la Fédération Wallonie-Bruxelles et la Province de Liège.

Informations et réservations souhaitées:

20 avril (Charneux) « Concerts à la Chapelle » : 18 euros – 0479/28 18 68
21-22-23 avril (Spa) : 15/10 euros « Ricercar Consort asbl » 087/77 19 74




mercredi 5 avril 2017

A Bruxelles, du jazz le temps d'un week end en mai

200 concerts gratuits, 700 musiciens...
lors du Bru Jazz WE

Le BRU JAZZ WE (Brussels Jazz Weekend) fera vibrer Bruxelles d’un mélange de free jazz, de blues et de funk, saupoudré de musiques du monde.

Au cours du dernier week-end du mois de mai – les vendredi 26, samedi 27 et dimanche 28 –, Bruxelles sera l’endroit incontournable pour les mordus de jazz. Durant ces trois jours de fête les meilleurs groupes belges et des affiches internationales !

En extérieur, autour des cinq scènes en plein air sur les plus belles places de la capitale (Grand-Place, place Sainte-Catherine, Grand Sablon, place Fernand Cocq et place du Luxembourg), et à l’intérieur, dans plus de 80 clubs, cafés et hôtels, où la fête continuera jusque tard la nuit …

Une matinée spéciale sera proposée aux familles, tandis qu’une ambiance conviviale enveloppera toute la ville.
 

A Bruxelles, plus de 700 musiciens vous accueilleront lors de  200 concerts gratuits au BRU JAZZ WE !

A Liège et Metz, le pianiste Andrew Tyson en concert


Sixième lauréat du Concours Reine élisabeth de piano 2013, le jeune Américain (30 ans), Andrew Tyson, était l’un des favoris du public et de la presse. Il est à Liège et Metz avec l’OPRL, au moment où sort son disque Ravel-Scriabine (chez Alpha).

Lors du Concours Reine élisabeth en 2013, Andrew Tyson pouvait prétendre figurer dans le trio de tête ; il avait  ébloui par son « absolue limpidité, beauté de l’évidence » (Le Soir) et était présenté comme « un musicien génial, un artiste raffiné, un pianiste accompli » (La Libre Belgique). Son récent disque Scriabine-Ravel (Alpha) confirme ces qualités ! Andrew Tyson est l’invité de l’Orchestre Philharmonique Royal de Liège, dans les Variations sur un thème de Paganini de Rachmaninov (1934), qui allient à merveille virtuosité et romantisme. Après un concert le jeudi 20 avril à 20 heures à la Salle Philharmonique de Liège,  sous la direction de John Neschling, les artistes donnent le même concert le vendredi 21 avril à 20 heures à L’Arsenal de Metz.

Également au programme, Hamlet de Tchaïkovski, et une œuvre plus rarement proposée au concert, La tragédie de Salomé, ballet de Florent Schmitt (1911) écrit sur la légende biblique de la princesse Salomé qui séduit son beau-père Hérode pour obtenir la tête du prophète Jean-Baptiste. Une musique d’une rare sensualité, qui associe les miroitements de l’Orient à la noirceur du romantisme.



mercredi 22 mars 2017

A Bruxelles, 2017 sera l'année du violoncelle au concours Reine Elisabeth

L’édition 2017 du Concours Reine Elisabeth sera consacrée au violoncelle, qui vient s’ajouter aux trois disciplines existantes que sont le violon, le piano et le chant. Le concours se déroulera à Bruxelles du 8 mai au 3 juin, dans les salles habituelles : la première épreuve et la demi-finale à Flagey et la finale au Palais des Beaux-Arts.
La session de violoncelle ouvre une nouvelle page dans l’histoire du Concours Reine Elisabeth, près de 30 ans après l’introduction du concours de chant en 1988. Elle vient naturellement s’insérer à la suite des deux autres sessions instrumentales, reportant d’un an la session de chant. Dans ce nouveau rythme, les disciplines – piano, violon, violoncelle et chant – reviendront donc tous les quatre ans.

En gestation depuis plusieurs années, cette nouvelle session illustre la volonté du Concours de répondre à l’évolution du monde de la musique, où l’on observe un intérêt de plus en plus marqué pour le violoncelle – tant chez les interprètes et les compositeurs qu’auprès du public. Depuis l’arrêt des concours Casals et Rostropovitch, il manquait, pour répondre à cet engouement, un concours international d’envergure dédié à cet instrument si cher à la Reine Elisabeth.

L’intérêt d’un concours de violoncelle se voit confirmé par le nombre d’inscriptions : avec 200 dossiers introduits, cette première édition se place d’entrée de jeu au niveau des dernières sessions de violon et de piano. Un même enthousiasme s’est observé auprès des professionnels du monde musical (notamment les membres du jury et les programmateurs).

Du 8 au 13 mai, les candidats retenus pour la première épreuve joueront à Flagey un récital de leur choix, accompagnés par un pianiste et un violoncelliste. La semaine suivante, les demi-finalistes présenteront, d’une part, un récital comprenant une œuvre imposée écrite pour l’occasion et, d’autre part, un concerto de Boccherini ou de Haydn, avec l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie dirigé par Frank Braley. Du 29 mai au 3 juin au Palais des Beaux-Arts, après un séjour d’une semaine à la Chapelle Musicale Reine Elisabeth, les douze finalistes interpréteront l’œuvre inédite imposée ainsi qu’un concerto choisi dans le grand répertoire du violoncelle, accompagnés par le Brussels Philharmonic et son chef Stéphane Denève. La décision du jury, prise sans délibération (c’est une des spécificités du Concours), sera proclamée à l’issue de la soirée du 3 juin.

L’œuvre imposée en demi-finale, Chacun(e) sa chaconne, a été écrite par la compositrice belge Annelies Van Parys. L’œuvre imposée de la finale et son compositeur seront annoncés le premier jour des finales (le 29 mai).

A Liège et à Bruxelles, la symphonie romantique à l'honneur

Christian Arming dirige l’OPRL dans la Huitième Symphonie de Bruckner, à Bruxelles et Liège.

Fruit de nombreuses années de travail et de divers remaniements, la Huitième Symphonie de Bruckner est une fresque monumentale d’une heure et quart environ, souvent considérée comme le « couronnement » de la symphonie romantique.

Dédiée à l’empereur François-Joseph, elle bénéficie à sa création, en 1892, d’un immense triomphe, un succès que Bruckner a rarement connu de son vivant. Dans les pays anglo-saxons, son énergie intarissable lui vaut parfois le surnom d’« Apocalyptique ».

Christian Arming et l’Orchestre Philharmonique Royal de Liège en sont les interprètes, le jeudi 30 mars à 20 heures au Palais des Beaux-Arts de Bruxelles et le samedi 1er avril à 20 heures à la Salle Philharmonique de Liège. Un véritable challenge pour tous les musiciens de l’orchestre, et selon Christian Arming, une œuvre « à la fois religieuse et métaphysique, à laquelle le chef doit avant tout conférer une unité et un souffle, une dimension contemplative. »

Longtemps persécuté par la critique, notamment par le Viennois Édouard Hanslick – anti-wagnérien notoire et défenseur inconditionnel de Brahms –, Bruckner ne connaît ses premiers succès qu’une fois atteint l’âge de 60 ans, et n’entendra jamais certaines de ses œuvres.
Sa production porte la trace de sa grande admiration pour Richard Wagner, qui, à son tour, aura des paroles d’estime pour Bruckner : « Vous êtes dans la symphonie ce que je suis dans la musique dramatique ».
La Huitième, dernière symphonie entièrement achevée par Bruckner, est aussi la plus monumentale de toutes. Elle fit l’objet d’importants remaniements par Bruckner lui-même, mais aussi par Max von Oberleithner.
Il fallut attendre les premières éditions conformes aux textes originaux, publiées par la Bruckner-Gesellschaft (Société-Bruckner) à partir de 1932, pour que ces œuvres s’imposent sous la forme voulue par leur auteur. Christian Arming a choisi de diriger la version de 1890, éditée par Robert Haas, qui a gardé la faveur de la majorité des grands chefs d’orchestre.


mardi 21 mars 2017

En Wallonie, en Flandre et à Bruxelles, offrir l'apprentissage d'un instrument de musique à un enfant étranger


Klarafestival et SOS Villages d'Enfants
lancent « The Sound of Home »
Aujourd'hui, 21 mars 2017, le concert Salaam Syria est au programme du Klarafestival. C'est dans le contexte de ce concert que sera donné le coup d'envoi de « The Sound of Home ». Grâce à ce nouveau projet porté par des dizaines de partenaires sociaux et culturels, des mineurs étrangers non accompagnés (MENA) auront l'opportunité d'apprendre à jouer d'un instrument.
Actuellement, quelque 1 200 mineurs étrangers non accompagnés sont présents en Belgique, c'est-à-dire des enfants et adolescents sans parents, livrés à eux-mêmes dans un pays étranger. Ils séjournent dans des centres d'accueil, où ils sont logés, nourris et bénéficient d'un enseignement. En matière de loisirs, ces jeunes dépendent du centre dans lequel ils se trouvent.
Au Klarafestival, chacun est convaincu que l'art et la culture constituent également un besoin fondamental. C'est pourquoi a été créé avec SOS Villages d'Enfants l'initiative « The Sound of Home ». Grâce à ce projet, quelque 200 mineurs étrangers non accompagnés en Belgique auront la possibilité de suivre des cours de musique à l'extérieur des centres qui les hébergent.
Le fait d'organiser ce projet à l'extérieur du centre d'accueil est un choix délibéré : « The Sound of Home » a pour vocation de créer des liens entre des personnes de parcours culturels différents. Pour les jeunes, l'enseignement et la musique sont le contexte idéal pour établir des contacts avec les personnes de leur âge.
Tant les jeunes que les académies prenant part au projet « The Sound of Home » bénéficient du soutien des partenaires concernés qui, grâce à leur expérience spécifique, fournissent l'encadrement nécessaire pour surmonter tous les éventuels obstacles (matériels, psychologiques ou sociaux). Ainsi, les adolescents et parents belges suivant également des cours à l'académie prennent en charge un ou plusieurs MENA via un système de parrainage.
Ce projet est porté par Klarafestival, SOS Villages d'Enfants, Fedasil, la Croix-Rouge de Belgique, Minor-Ndako, les CPAS, l'Enseignement artistique à horaire réduit de Bruxelles, Flagey, la Taskforce Réfugiés FEB et les écoles de musique de Flandre, de Bruxelles et de Wallonie

lundi 20 mars 2017

A Bruxelles, un piano pour une performance artistique

Pendant ses études, Charlemagne Palestine découvre le Bösendorfer Imperial : un piano dont les 97 touches atteignent 8 octaves complètes. Fort de son expérience avec des carillons et des synthétiseurs, il élabore la technique du strumming, de pianotage.

Il développe ainsi une alternance ultrarapide de notes individuelles en un jeu sonore étourdissant. Son instrument ressemble à un autel composé d’animaux en peluche qu’il a sauvés de boutiques d’occasion (d’orphelinats, selon lui).
Il les hisse au rang de créatures divines ou de totems chamaniques, et les garde toujours près de lui. Cette performance constitue la pièce de clôture de l’exposition BXL UNIVERSEL.
L’artiste états-unien Charlemagne Palestine est compositeur, vidéaste, performeur, peintre et créateur d’installations. Il a étudié et enseigné à CalArts (Californie) et a rapidement obtenu la reconnaissance des scènes avant-gardistes internationales avant de venir s’installer à Bruxelles.
Cette performance aura lieu au Centrale for Contemporary Art, place Ste Catherine, 44 à Bruxelles, le 26 mars prochain à 20h30.

vendredi 17 mars 2017

A Liège, Kristian Bezuidenhout en récital de pianoforte


Premier Prix du prestigieux Concours de Bruges (2001), Kristian Bezuidenhout est pour la première fois à la Salle Philharmonique, le dimanche 26 mars à 16 heures. Haydn et Beethoven au programme !

« Bezuidenhout est un prince du pianoforte, il fait chanter chaque mélodie comme personne sur cet instrument intraitable. » (The London Times). Kristian Bezuidenhout est pour la première fois en récital à la Salle Philharmonique de Liège, le dimanche 26 mars à 16 heures, dans le cadre de la série « Piano 5 étoiles ». Une fois n’est pas coutume, le grand Steinway de concert est laissé en bord de scène au profit de cet instrument rare, le pianoforte, ancêtre du grand piano romantique qui supplanta le clavecin et séduisit Haydn, Mozart, Beethoven et bien d’autres, par ses possibilités nouvelles de produire nuances et variétés de couleurs grâce à ses cordes frappées.



HAYDN ET BEETHOVEN

Reconnu comme l’un des plus grands spécialistes des claviers anciens (pianoforte et clavecin, même s’il joue aussi sur piano moderne) depuis son Premier Prix au prestigieux Concours de Bruges à l’âge de 21 ans, Kristian Bezuidenhout est né en Afrique du Sud et a notamment étudié à l’Eastman School of Music (USA). Son intégrale en cours de l’œuvre pour piano de Mozart (harmonia mundi) est unanimement saluée par la critique internationale. Pour son premier récital à Liège, il part à la conquête de Haydn (Variations en fa mineur) et des grandes pages préromantiques de Beethoven, avec notamment sa Sonate n° 7 et la célèbre Sonate n° 8 « Pathétique ».


jeudi 9 mars 2017

A Bruxelles, la guitare en fête

Du 21 au 25 avril 2017, à Bruxelles

6e édition du BIGuitar Festival

Du 21 au 25 avril 2017, le 6e BIGuitar FESTIVAL - Brussels International Guitar Festival & Competition accueillera au Théâtre du Vaudeville quelques-uns des plus grands guitaristes internationaux pour un programme riche et varié : des concerts de musique classique, latine, moderne, du tango argentin, un spectacle flamenco, des films, des master classes, des rencontres, un spectacle pour enfants, la finale du concours national de guitare et le Salon des Luthiers & Exposants.

Au fil des cinq éditions précédentes, le BIGuitar FESTIVAL est devenu l’événement incontournable pour tous les aficionados de la guitare. Fondé par le guitariste Hugues Navez, ce rendez-vous annuel permet au grand public, néophyte ou averti, de découvrir les très nombreuses facettes de l’instrument le plus joué au monde.

La cuvée 2017 s’annonce pleine de découvertes et créations.

Parmi les 12 concerts répartis sur 5 soirées figurent deux œuvres majeures de
Joaquin Rodrigo : la première belge du Concierto para una Fiesta pour guitare et orchestre et le Concierto Andaluz pour quatre guitares et orchestre. Ils seront interprétés par Marco Tamayo, Anabel Montesinos, Tal Hurwitz et Daniel Egielman accompagnés par La Chapelle de Tournai sous la direction de Philippe Gérard.

Le récital de la grande guitariste paraguayenne
Berta Rojas, la musique argentine du Trio Máximo Diego Pujol, le spectacle flamenco du Oleo Antonio Segura Group, le violon et la guitare du duo belge Medi Terra, les concerts de l’ Oxycord Guitar Quartet, du Nice Guitar Duet, ainsi que le concert Diversity par l’Ensemble de guitares du Conservatoire royal de Bruxelles sous la direction de Hugues Navez sont autant de rendez-vous à ne pas manquer.

Pour les enfants de 3 à 12 ans la compagnie française
Dans les Bacs à Sable présentera son nouveau spectacle Les Trésors du Monde.

D’autres moments forts seront cinématographiques. En collaboration avec l’INA, le festival rendra
hommage à la guitariste française Ida Presti, la plus grande virtuose du XXe siècle, à l’occasion des 50 ans de sa disparition en avril 1967, avec la projection en première mondiale de deux concerts d’archives du duo mythique qu’elle formait avec son époux Alexandre Lagoya, et la présentation d’interviews inédites par sa petite-fille Isabelle Presti. Toujours à l’affût de nouveautés, le BIGuitar FESTIVAL offrira la première et unique projection en Belgique du film paraguayen « Mangoré, por Amor al Arte » consacré au grand compositeur et guitariste de ce pays, Agustín Barrios.

Parmi les nombreuses activités gratuites, le festival propose
six master classes (en collaboration avec le Conservatoire royal de Bruxelles), le Salon des Luthiers & Exposants, qui s’agrandit et se tiendra à la Maison Grand-Place, et enfin la finale du Brussels National Guitar Competition « Nicolas Alfonso ». Ce concours de très haut niveau, créé en 2012 en hommage au fondateur de la classe de guitare du Conservatoire royal de Bruxelles, est alternativement national et international. L’édition 2017 sera pour la première fois accessible à tous les guitaristes classiques amateurs de Belgique. Pendant la délibération du jury et avant la proclamation des résultats, la grande guitariste française Valérie Duchâteau donnera un récital consacré à Barbara, Bernstein, Dyens…

En Wallonie, le Festival a vécu... Vivent les Festivals de Wallonie

En 2017, le Festival de Wallonie
devient Les Festivals de Wallonie !


Profitant de l’impulsion d’une nouvelle direction, le Festival de Wallonie a mené au cours de ces derniers mois un vaste chantier relatif à la définition de ses valeurs et objectifs communs.

Les Festivals de Wallonie, ce sont sept festivals membres de cette fédération « vieille » de près de cinquante ans (le Festival de Wallonie a été fondé en 1971 !), répartis sur l’ensemble du territoire de la Wallonie et à Bruxelles.

Aujourd’hui, après près de 50 ans d’existence, le Festival de Wallonie souhaite se repositionner quant à ses valeurs et ses objectifs. Quels types de programmation aborder ? Pour quels publics ? Avec quels outils ? Les sept festivals se sont aussi interrogés sur leurs envies communes, leur notion du vivre et du travailler ensemble et sur leurs motivations à poursuivre dans cette voie. A l’issue de ces quelques mois de réflexion, l’idée d’une redéfinition complète de l’identité de la fédération se dégage…

En 2017, le Festival de Wallonie prend un « S » et devient Les Festivals de Wallonie !

Sous cette bannière, sept festivals différents (Festival Musiq3, Festival Musical de Namur, Royal Juillet Musical de Saint-Hubert, Festival de Stavelot, Festival Musical du Hainaut, Festival Musical du Brabant Wallon et Les Nuits de Septembre / Liège) se regroupent et oeuvrent « de concert » à une plus grande accessibilité de la musique (essentiellement classique) à tous, jeunes et moins jeunes, mélomanes avertis ou non, musiciens, curieux, amateurs (au sens étymologique du terme)…

Cette nouvelle appellation a pour objectif premier de faciliter la compréhension auprès du public d’un projet ambitieux, dont les multiples visages constituent autant de richesses. Les Festivals de Wallonie s’affirment comme une association de producteurs et de diffuseurs de musique classique qui, chacun avec ses particularités, contribuent au développement d’un projet global aux enjeux communs et partagés. Les Festivals de Wallonie, c’est un peu comme une chatoyante boule à facettes dont chacune des sept entités qui la composent contribue au rayonnement et renforcent son éclat, chacune avec ses spécificités.

Ce changement de nom est un premier pas vers l’assise d’un label fort, immédiatement appréhendable et reconnaissable tant à l’échelle régionale que nationale voire internationale.

Les Festivals de Wallonie, c’est un projet de diffusion, mais aussi de production, de médiation et de soutien aux jeunes musiciens et ensembles qui se donne pour enjeu de se faire connaître et apprécier bien au-delà de nos frontières.

En parallèle à ce changement de dénomination, une révision de l’identité visuelle et graphique de la fédération a été entreprise, laquelle verra progressivement ses applications au sein des différents festivals membres.

Nouvelle direction, nouveau projet, nouveau nom… 2017 sera incontestablement une année de profonds bouleversements pour les Festivals de Wallonie !


Pour information

mercredi 1 mars 2017

A Liège, le mythe d'Orphée avec Nicolas Achten et Deborah Cachet

Musique ancienne à Liège

Nicolas Achten et Deborah Cachet incarnent Orphée et Eurydice dans les œuvres des grands maîtres italiens, accompagnés par les Scherzi Musicali.

La Salle Philharmonique de Liège accueille l’ensemble belge Scherzi Musicali, son chef-fondateur Nicolas Achten et la soprano Deborah Cachet, pour un programme de musique ancienne consacré au mythe d’Orphée, le dimanche 12 mars à 16 heures.

Chantre légendaire qui pénètre dans le Royaume des morts pour ramener sa belle Eurydice, Orphée a inspiré les plus grands musiciens italiens dès la fin de la Renaissance. Figure symbolique du pouvoir de la musique sur les hommes et la nature, Orphée fait ses premières armes chez Peri (1600) et Caccini (1602). Grâce au génie de Monteverdi, il devient le héros du premier opéra majeur de l’histoire : L’Orfeo (1607), avant d’inspirer Rossi (1647) et Sartorio (1672).

Comme Orphée, Nicolas Achten s’accompagne au chant aux côtés de ses Scherzi Musicali. « Best-seller » des Scherzi Musicali, ce programme a été enregistré en 2013 pour le label Deutsche Harmonia Mundi.

« Il pianto d’Orfeo » (les pleurs d’Orphée)

Peri, Caccini, Monteverdi… Pourquoi Orphée a-t-il été le sujet de tant de ces premiers opéras ? Probablement car il unit le texte à la musique : aède (poète grec de l’Antiquité), il chantait et s’accompagnait de la lyre. Son chant était réputé pour émouvoir toute créature et pouvait même faire pleurer les pierres. Le programme de ce concert retrace le mythe d’Orphée et Eurydice dans une confrontation entre les premières lectures de grands artistes du Seicento (XVIIe siècle).

lundi 27 février 2017

A Liège et à Anvers, l'OPRL accueille Nadja Michael et Mikhail Petrenko

 Deux chanteurs d'exception pour "Barbe bleue"



L’unique opéra de Bartók est un chef-d’œuvre rarement donné en raison de sa courte durée et de son action dépouillée à l’extrême. Pour incarner Judith et Barbe-Bleue, Christian Arming invite Nadja Michael et Mikhail Petrenko, formidables interprètes qui l’ont chanté ensemble au Metropolitan Opera de New York en 2015.

Point culminant de la saison « Mythes et Légendes » de l’OPRL, l’unique opéra de Béla Bartók « Le château de Barbe-Bleue »  est au cœur des concerts de l’Orchestre Philharmonique Royal de Liège et Christian Arming, le vendredi 10 mars à 20 heures  à la Salle Philharmonique de Liège et le samedi 11 mars à 20 heures à la Salle Reine élisabeth d’Anvers.  Il est précédé par l’Adagio de la 10e Symphonie de Mahler (1910), le seul mouvement de cette ultime symphonie qui ait été orchestré par Mahler lui-même.

Un opéra à l’orchestre ?

Créé à Budapest en 1918, Le château de Barbe-Bleue décrit l’affrontement de Barbe-Bleue et de sa quatrième femme, Judith. Un seul acte, un lieu unique, seulement deux protagonistes : voilà un opéra atypique  auquel les orchestres philharmoniques peuvent  se confronter, dans une version « de concert ». L’ouverture des sept portes, et la progression dramatique qui en découle, sont mis en musique par Bartók avec un sens de l’architecture et une puissance d’évocation exceptionnels. Un chef-d’œuvre rare dont Christian Arming pourra rendre toutes les richesses, sur la scène de la Salle Philharmonique.
Riche en connotations symboliques (destruction du couple, dangers de la curiosité, conflit entre le rationnel et l’intuitif), Le château de Barbe-Bleue est à la Hongrie ce que le Pelléas et Mélisande de Debussy est à la France. C’est aussi le premier opéra utilisant spécifiquement la prosodie naturelle de la langue hongroise, concrétisant ainsi le travail approfondi de Bartók sur les racines de la culture hongroise (l’œuvre est sur-titrée à Liège et à Anvers).


Deux chanteurs exceptionnels

Pour incarner Judith et Barbe-Bleue, l’OPRL invite deux grands interprètes d’aujourd’hui, Nadja Michael et Mikhail Petrenko, tous deux reconnus sur la scène internationale dans le répertoire d’opéra de la fin du XIXe et du XXe siècle (Wagner, Verdi, Richard Strauss, Janáček, Korngold, etc.). Ils ont chanté l’œuvre ensemble au Metropolitan Opera de New York, en janvier 2015.


vendredi 24 février 2017

A Verviers, coup de projecteur sur les artistes du terroir

Du 10 AU 19 mars 2017
 
Les arts en Vesdre
 
Mise à l’honneur d’artistes verviétois

Le Centre culturel de Verviers met, du 10 au 19 mars 2017, un coup de projecteur sur les artistes au talent incontestable de sa région lors de la 3e édition du Festival “Les Arts en Vesdre”.

L’idée de ce festival est partie simple d’un constat :  Verviers compte une quantité impressionnante d’artistes de grande qualité, dans tous les domaines possibles. Certains d’entre eux sont déjà connus sur la scène internationale. D’autres ne bénéficient malheureusement pas de l’éclairage médiatique qui leur assurerait une reconnaissance à la hauteur de leur talent, c’est dans cette optique qu'est envisagée cette mise à l’honneur : "que les verviétois soient fiers de leurs artistes, et que nos artistes soient fiers d’être verviétois"
 
PROGRAMME
 
Vendredi 10/03 20h LA SCENE EST A VOUS !
 
Scène ouverte - Espace Duesberg
 
Dans le cadre du Festival, le Centre culturel de Verviers invite les artistes de l’ombre à se faire connaître afin de découvrir de nouveaux talents vervietois et de les faire connaitre au grand public. Les candidats sélectionnés dans les diverses disciplines artistiques auront l’occasion de venir se produire sur la scène de l’Espace Duesberg devant le public et un jury de professionnels ! A l’issue de la soirée, le public et le jury de professionnels pourront voter pour leur artiste favori.
Les prix du(des) lauréat(s) seront, notamment, une programmation lors de la saison 2017-2018 !
Tarif :
 
Du 10/03 au 15/04 LES PHOTOGRAPHIES DE VANESSA FABRY
 
Exposition - Médiathèque
 
Ce que j’aime dans la photo c’est capturer l’instant présent. Le paysage n’est jamais le même c’est ce qui est le plus passionnant. Les cimetières sont rarement exploités par les photographes ce qui est dom-mages car il y a moyen de faire de magnifiques photos. Le fait de jouer avec le noir et le blanc, ainsi que les ombres, les rend magiques. Bien-sûr, ce n’est qu’une question de goût.
Entrée libre. Les expositions sont accessibles durant les heures d’ouverture de la Médiathèque, les mardis et mercredis de 11h à 13h, et de 14h à 18h, les vendredis de 10h à 13h, et de 14h à 18h, et les samedis de 10h à 13h, et de 14h à 16h.

 
Du 11/03 au 24/03 N. PAGNOULLE & ARTISTES DES ASSOCIATIONS MULTICULTURELLES
 
Exposition - Espace Duesberg
 
Nathalie Pagnoulle, peintre autodidacte et animatrice d’ateliers d’art plastiques, travaille essentiellement à l’acrylique en jouant avec les couleurs, les ombres et les lumières.
Elle apprécie particulièrement l’abstrait, car cela permet à chacun d’interpréter ceux-ci à sa manière. Elle ne donne pas de titres à ses oeuvres, afin de ne pas influencer l’interprétation personnelle du spectateur.
Vernissage le jeudi 10/03 à 18h.
Entrée libre. Exposition accessible du lundi au vendredi de 10h à 12h30 et de 13h30 à 17h30.

Samedi 11/03 20h LA BANDE ORIGINALE
 
Conférence/concert - Espace Duesberg
 
« La Bande originale ou quand la musique fait son cinéma ». Plus qu’un spectacle, il s’agit véritablement d’une conférence - spectacle musical sur le thème de l’intégration et du che-minement de la musique au cinéma, de 1895 à nos jours. Très largement documentée, cette conférence évoque les débuts du cinéma avec l’intégration de la musique, la musique et le cinéma muet, les musiciens et compositeurs, les débuts du cinéma sonore, la mu-sique des grands films classiques d’avant-guerre, le cinéma et les «Stars» de la chanson, la musique de film, premier moyen de promotion, l’évolution de la musique, les musiques non-écrites pour le cinéma et reprises dans de nombreux films, des anecdotes... Un quizz...
Chaque décennie est représentée par les films les plus significatifs de leur époque. Plus de 40 extraits de films sont projetés et accompagnés «en live» par 3 musiciens confirmés. Un narrateur/conférencier aborde de façon ludique tous les thèmes évo-qués et un informaticien en assure le bon déroulement.

 
Dimanche 12/03 18h 13, RUE DU HASARD
 
Spectacle de magie de Laurent Piron - Espace Duesberg
 
Croyez-vous au hasard, ou au destin? L’enchaînement de certains évènements qui peuvent sembler anodins, peut parfois avoir
des conséquences inattendues. Laurent est ainsi devenu magicien. Mais est-ce bien par hasard? Dans ce spectacle de magie théâtrale, c’est grâce à une touche d’humour et à un nuage de magie que Laurent nous présente son univers.
Au “13, rue du Hasard”, tout le monde trouve sa place, les petits comme les grands. Nous sommes invités à participer et l’interaction avec le public est constante. C’est un spectacle où la magie prend tout son sens et où le hasard fait décidément bien les choses.

Jeudi 16/03 12h30 BENOIT LIZEN
 
Concert folk blues à la Maison des Jeunes des Récollets
 
Biologiste et chercheur universitaire, Benoît Lizen met toute sa science au service d’un blues légèrement toqué et d’une musique folk un peu folle. Bidouilleur rural, autodidacte génial, il défie la ligne du temps sur les cordes d’un banjo et d’une guitare. Chanté dans une langue imaginaire, son premier album se pose aux frontières du réel et véhicule les fantasmes du passé. Sans nostalgie. Mais avec un sacré génie.
Gratuit
 
Jeudi 16 & vendredi 17/03 20h LA POUDRE AUX YEUX
 
Théâtre du Souffle - Espace Duesberg
 
Une pièce d’Eugène Labiche où deux familles s’éblouissent par de fausses apparences. Le plus grand auteur comique français après Molière, Eugène Labiche décrit avec férocité les moeurs de la bourgeoisie du Second Empire dont le mot d’ordre est : «Enrichissez-vous». Deux familles (les Malingeard et les Ratinois) veulent marier leurs enfants et c’est aussitôt la course à la dot. Les mères commencent une compétition à la fortune et, devant les maris consentants mais un peu ébahis, s’envoient à la tête toilettes éblouissantes, loges à l’opéra, domestiques... Jusqu’à ce que la vérité apparaisse en coup de théâtre.
Distribution : André Detiffe, Marie-Elisabeth Dricot, Virgile Gauthier, Christine Genart, Sabine Gullmann, Vincent Koerver, Vincent Moreau, Hugo Pereira, Marie-France Taeter.
 
Samedi 18/03 20h GREGORY HOUBEN « UN BELGE A RIO »
 
Concert Jazz - Espace Duesberg
 
«Dans mon île» est la chanson d’Henri Salvador dont Jobim affirme s’être inspiré pour créer la Bossa No-va. Chanson française et musique brésilienne sont donc intimement liées. Un premier album est une île, intime, patiemment aménagée, où l’on vient se ressourcer, à l’image de la Juliana de la chanson «Saudade» de Pierre Barouh.
Dans ce premier album en français, enregistré entre Copacabana et Bruxelles, Greg Houben vous invite à découvrir ses différentes facettes d’auteur/compositeur/interprète, à la fois tendre (Si Belle Si Toi), poétique (J’arrive Aujourd’hui), surréaliste (Animal), engagé (Les Banksters) et taquin (Coconut). L’album «Un Belge à Rio» de Greg Houben est définitivement surprenant, tout simplement attachant, à l’image de son île.
Greg a le coeur vagabond. Belgique et Brésil, théâtre et musique, finalement pourquoi choisir? Greg trace son chemin, un chemin qui chemine comme chantait Moustaki.

 
Dimanche 19/03 11h RECITAL DE GILLES BREDA & ELIANE REYES
 
Concerts du Dimanche Matin - Espace Duesberg
 
Eliane Reyes est une personnalité éclatante de la vie musicale actuelle Son cheminement riche la con-duit à travailler avec les pianistes les plus renommés à Salzburg, Berlin et Paris, à se classer parmi les lauréats de concours internationaux, à parcourir le monde et partager la scène avec de merveilleux ar-tistes de sa génération, à réaliser de nombreux enregistrements et transmettre sa passion aux jeunes pianistes des Conservatoires de Bruxelles et Paris.
Gilles Bréda fait un parcours complet et brillant au Conservatoire de Verviers. En 2013, il intègre la classe de Denis-Pierre Gustin à l’Institut de Musique et de Pédagogie à Namur. C’est en février 2016 qu’il est reçu parmi les futurs étudiants du Conservatoire National de Paris Il va sans dire que ses qualités artis-tiques et son talent semblent le destiner à un avenir prometteur dans le monde de la musique.
Arrivés à différentes étapes du chemin, quoi de plus naturel que de réunir ces deux talents dans le cadre des «Arts en Vesdre».
 
Jusqu’au 24/03 LES PEINTURES D’IRIS MARDAGA
 
Exposition - Tennis de Maison-Bois
 
Iris Mardaga dessine depuis qu’elle sait tenir un crayon en main. Créer était déjà, à ce moment-là, un moyen de s’exprimer pour être bien dans sa peau. Les années ont passé et aujourd’hui, elle effectue beaucoup de recherches dans le domaine artistique. Elle ne voit plus la peinture ou le dessin comme un passe-temps, mais comme une recherche perpétuelle sur sa personne et sur le monde qui l’entoure. Iris a donc décidé d’entreprendre des études artistiques à l’Institut St Luc à Liège afin de se perfectionner. Elle nous fera partager le fruit de ses dernières créations, assurément très prometteuses.